Alain Orounla a rappelé que le dialogue politique auquel Patrice Talon convie les partis politiques est à différencier du dialogue national qu’est la conférence nationale qui a eu lieu en février 1990. Dans le cas présent, le dialogue politique est institué pour résoudre des problèmes spécifiques et "rigoureusement d’ordre politique". Il ne requiert donc pas la présence de toutes les composantes de la nation. Il n'est donc pas indispensable que des organisations comme le Clergé catholique ou la société civile soient parties prenantes audit dialogue selon le porte-parole du gouvernement.
“L’invitation du chef de l’Etat, est une adresse aux formations politiques pour se concerter et essayer de corriger et de réajuster ce dont on a pu se plaindre il y a quelques mois, à savoir, les lois qui régissent l’animation de la vie politique”, a expliqué le ministre de la communication.