Pour les conférenciers, le président de l’autorité nationale de lutte contre la corruption, (Anlc) n’a ressorti que les informations que la CENA avait auparavant distillé dans l'opinion publique. Il n’y a pas eu de violation de la constitution, ni du code électoral, a souligné Emmanuel Tiando. Il prend preuve les recours formulés en son temps par les membres des partis politiques qui par la suite ont été déclarés irrecevables.
A en croire le président de la Cena, les allégations de Jean-Baptiste Elias devraient plutôt être orientées vers le procureur de la République et non dévoilées sur une chaîne de télévision.