Cette expérimentation permettra de déceler s’il y a eu lieu des dysfonctionnements afin de les corriger. “Nous avons choisi de faire une phase pilote, une expérimentation pour que s’il y a des dysfonctionnements, des irrégularités on puisse les corriger d’ici 5 ans et être au rendez-vous communautaire”, a expliqué Josué Azandégbey, directeur adjoint de cabinet au ministère de l'enseignement supérieur. Pour le directeur de l’office du Bac, Alphonse da Silva, tout sera fait dans le respect du baccalauréat béninois.
Pour cette phase pilote, 350 candidats toutes séries confondues répartis dans onze centres composent sur toute l’étendue du territoire. Cet examen blanc se déroule aussi dans les sept autres pays de l’UEMOA.