“La consommation locale est un acte patriotique”, a souligné Mélanie Glèlè. L’objectif de la campagne est de disposer d’un cadre juridique propice. A cet effet, les 1000 signatures recueillies lors de la campagne qui a duré deux mois ont été déposées le 23 mars à l’Assemblée nationale.
La première cible demeure d’abord les institutions. Ce sont ces derniers qui doivent sonner le glas pour un changement. Ensuite ce sera le tour des populations. A ce niveau, Mélanie Glèlè souligne que ‘est un changement de mentalité qui doit intervenir. Comme exemple, elle soulève l’attitude des populations du Burkina vis à vis de leur production.
La campagne fait suite aux différentes décisions des maires de Parakou, Charles Toko et de Banikoara, Tamou Salako sur la promotion du local (alimentation et habillement).