Près d’une trentaine de personnes ont été interpellées et arrêtées pour les délits de cybercriminalité et de sacrifice humain. Neuf sont déjà situées sur leur sort depuis le 28 mars dernier. Elles écopent d’une peine d’emprisonnement ferme, a indiqué le magistrat.
15 autres présumés dont 10 interpellés au Togo, connaîtront le sort qui leur est réservé à l’audience du 8 mai prochain. Arrêtées courant avril, ils ont été placés sous mandat de dépôt.
Trois autres cybercriminels seront jugés ce 19 avril. Ils sont accusés de “publication d’images obscènes, de chantage et de tentative d'extorsion de fonds vis-à-vis d’une parlementaire malgache”, a souligné Antoine Abevi.
Dans le cadre des perquisitions, 30 ordinateurs, des téléphones portables et des véhicules ont été saisis. Les investigations se poursuivent pour appréhender les autres auteurs de ces délits.